Pour cette nouvelle interview du vendredi, nous sommes allés au sud du territoire, à la rencontre de Jean-Louis Dugravot. Venez découvrir une personne très investie dans le Handball Grand Estois. Merci à lui d’avoir pris le temps de répondre à nos questions. 

Question 1 : Bonjour Jean-Louis, pourrais-tu te présenter ? 

Je m’appelle Jean-Louis Dugravot, j’ai 62 ans et je suis retraité. Je suis le père de 3 enfants handballeurs et le grand-père de Thomas Tanguy qui évolue en Proligue à Sélestat. Je suis engagé toujours dans le bénévolat. 

Outre le handball, je pratique le jardinage et la marche.

Question 2 : Quel est ton parcours handballistique ? Comment es-tu arrivé à la Ligue Grand Est de Handball ?

J’ai commencé le handball dans milieu scolaire, en UNSS.

J’ai repris ensuite 20 ans plus tard, en 1996, en devenant président du club de Froncles (52). Celui-ci était d’ailleurs en sommeil depuis de nombreuses années et j’ai eu l’occasion de renfiler le short en tant que joueur et arbitre. 

En 1998, j’intègre le Conseil d’Administration du Comité 52 et deviens également membre de la COC 52. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à m’investir dans les institutions puisque je suis également devenu Secrétaire Général du Comité 52 en 2004.

En 2006, j’intègre le Conseil d’Administration de la Ligue Champagne-Ardenne et deviens membre de la COC de la Ligue. 

En 2009, je deviens Président du Comité 52, poste que j’occupe toujours. 

De 2012 à 2016, j’occupe la fonction de Vice-Président de la Ligue Champagne-Ardenne en charge du secteur sportif. Je suis alors missionné sur les questions en lien avec la COC, la CRA et l’ETR. 

Depuis, j’ai intégré la COC fédérale en 2017 et j’ai été élu Vice-Président Délégué de la Ligue Grand Est en Octobre dernier.

Question 3 : Quels sont tes missions à la Ligue ?

En tant que Vice-Président Délégué, ma mission principale est de suppléer le Président en cas d’absence. Je suis le premier intermédiaire au besoin. 

Je travaille également de concert sur 3 commissions : la COC, l’ETR et l’ITFE. 

Question 4 : Est-ce que ce n’est pas trop dur de travailler à la fois pour la Ligue et le Comité simultanément ?

Le cumul des fonctions n’est nullement problématique dans la mesure où la Ligue et les Comités s’identifient en territoire et travaille sur un langage commun. Avoir cette double position me permet de prendre en compte les différentes problématiques et de répondre efficacement à chacune de mes missions.

Question 5 : Pourrais-tu nous expliquer comment la COC travaille avec la Fédération et les comités en ces temps compliqués ?

Pour commencer, il est important de préciser que nous travaillons très durs à la COC pour trouver les meilleures solutions possibles. À ce propos, il faut savoir que la position de la Fédération est très importante car tous les territoires en France suivent les directives nationales afin que le territoire ait des décisions unifiées.

Dans ce contexte, le fait de participer à la COC nationale est un avantage pour participer aux réunions et pouvoir rapporter au mieux la teneur du discours et de la volonté fédérale. Le véritable objectif, c’est de retraduire au niveau territorial avec les spécialités qui le composent, les volontés fédérales.

Question 6 : Peux-tu nous raconter ton plus beau souvenir Handballistique ? 

Mon plus souvenir est toujours d’actualité : c’est de voir mon petit-fils gravir une à une les marches du haut niveau et le voir s’éclater dans sa passion. Plus globalement, j’éprouve un immense plaisir de voir la réussite et l’épanouissement de tous les jeunes que nous avons formés.

Les commentaires sont fermés

fr_FRFrench